- Cet évènement est passé
Projection-débat “du béton sur nos courgettes”
28 novembre - 18:30 - 21:00
1€
Venez discuter de la question de l’artificialisation des sols et de ses conséquences sur notre modèle agricole autour du film “Du béton sur nos courgettes”, en partenariat avec l’association Terre de Liens (@terredeliens).
Projection-débat organisée dans le cadre du Festival Alimenterre (@festivalalimenterre) et du Festival des Solidarités organisé par l’association Latitudes (@assolatitudes).
Projection-débat organisée dans le cadre du Festival Alimenterre (@festivalalimenterre) et du Festival des Solidarités organisé par l’association Latitudes (@assolatitudes).
– Lieu : Semailles (2370 av de la croix rouge, Avignon)
– Entrée à la soirée : 1€
– Vente de boissons, produits locaux et livres
– Horaires :
18h30-19h : accueil et présentation de Semailles
19h-20h : projection du film
20h-21h : échanges, débats
– Entrée à la soirée : 1€
– Vente de boissons, produits locaux et livres
– Horaires :
18h30-19h : accueil et présentation de Semailles
19h-20h : projection du film
20h-21h : échanges, débats
-Synopsis :
Depuis les années 70, le monde rural des Alpes-Maritimes a connu un essor considérable du bâti. La spéculation foncière qui en découle a engendré la disparition progressive de ses terres cultivables et des sources d’approvisionnement en denrées alimentaires. Ce documentaire montre les dispositions prises par les communes pour réhabiliter les jachères et endiguer le grignotage immobilier. Il va à la rencontre de celles et ceux qui s’opposent à cette érosion des espaces exploitables en réhabilitant des modes de production adaptés à la géographie et au climat local.
Depuis les années 70, le monde rural des Alpes-Maritimes a connu un essor considérable du bâti. La spéculation foncière qui en découle a engendré la disparition progressive de ses terres cultivables et des sources d’approvisionnement en denrées alimentaires. Ce documentaire montre les dispositions prises par les communes pour réhabiliter les jachères et endiguer le grignotage immobilier. Il va à la rencontre de celles et ceux qui s’opposent à cette érosion des espaces exploitables en réhabilitant des modes de production adaptés à la géographie et au climat local.
